Articles1

Forum des livres et des auteurs

Dimanche 12 juin 2011 à 15:31

http://www.decitre.fr/gi/73/9782845635173FS.gif
Présentation de l'éditeur

Dans leur téléphone,
il y avait toute leur vie...

New York. Aéroport Kennedy.
Dans la salle d embarquement bondée, un homme et une femme se télescopent. Dispute anodine, et chacun reprend sa route.
Madeline et Jonathan ne s étaient jamais rencontrés, ils n auraient jamais dû se revoir. Mais en ramassant leurs affaires, ils ont échangé leurs téléphones portables. Lorsqu ils s aperçoivent de leur méprise, ils sont séparés par 10 000 kilomètres : elle est fleuriste à Paris, il tient un restaurant à San Francisco.
Cédant à la curiosité, chacun explore le contenu du téléphone de l autre. Une double indiscrétion et une révélation : leurs vies sont liées par un secret qu ils pensaient enterré à jamais...


Entre comédie romantique et thriller de haute volée

Une intrigue magistrale portée par des personnages bouleversants

Un final virtuose

Dimanche 12 juin 2011 à 15:28

http://idata.over-blog.com/3/75/35/44//Et-pour-que-marianne-chante-a-nouveau-copie-1.jpg


Présentation de l'éditeur

La France, qui a vu naître les Droits de l'Homme et du citoyen, connaît une crise économique, sociale, culturelle et démocratique qui s'est amplifiée à partir de la crise mondiale de 2008. La notion de Liberté s'individualise, l'idéal d'Egalité est remis en cause et la Fraternité n'est plus le ciment de notre société. Le modèle républicain et démocratique se voit donc menacé par le désengagement des citoyens à l'égard des questions politiques. A nous de replacer l'éducation et la participation au centre du projet de reconstruction d'une citoyenneté responsable, à nous de garantir le renforcement de la société civile, essentielle au fonctionnement démocratique, à nous de défendre la sphère publique face à un marché sans régulation. A partir de son parcours professionnel et associatif, Gilles Le Bail propose une analyse, et dessine les bases d'une société où l'homme pourrait en redevenir le moteur et l'acteur responsable qu'il n'aurait jamais du cesser d'être.

Lundi 9 mai 2011 à 3:12

http://toukimontreal.com/actualites/wp-content/uploads/2010/12/Blues_Pour_elise.jpg
Présentation de l'éditeur

Qu'est-ce qui fait courir les personnages de Blues pour Elise ? C'est l'amour ! Celui qu'on désespère de trouver, comme Akasha qui ne se remet pas d'une peine de coeur. Celui qu'on croit avoir perdu, comme Amahoro, dont le compagnon a pris ses distances. Celui qu'on n'attendait pas, comme Shale, follement éprise d'un homme peu avenant. Celui dont on doute soudain, comme Malaïka, paniquée à la veille de son mariage. A travers le parcours de ces quatre femmes et de leurs proches, Blues pour Elise dresse le portrait coloré, urbain et charnel de la France noire. Celle qui, loin des clichés misérabilistes, adopte le mode de vie bobo, se nourrit de graines germées, se déplace en Vélib', recourt au speed dating pour rompre la solitude. Roman de société, Blues pour Elise parle avant tout d'amour. Celui de soi, celui de l'autre.

Lundi 9 mai 2011 à 3:01

http://images.epagine.fr/920/9782226223920_1_m.jpg
Présentation de l'éditeur

Larguée en politique, c’est ne pas savoir pour qui voter à la présidentielle de 2007, quant aux désordres organiques, c’est perdre boulot et compagnon le même jour…Mai 2007, Sarkozy est élu. Léa et Justin traînent toute la nuit, du Fouquet’s à la Bastille, largués, mis devant le fait accompli, eux les bobos désenchantés, nostalgiques d’un certain mai 68, surtout de ses slogans, et par ailleurs consommateurs nés et endettés… Et puis Justin, artiste conceptuel, quitte Léa qui vient de démissionner de son boulot, et si la vie politique continue, celle de Léa vient à stagner sérieusement. Décidant d’espionner Justin, elle le piste avec Roll’on, un type aussi paumé qu’elle, qui fait une fixation sur les Antillaises et rêve lui aussi d’amour et d’égalité dans un monde qui a les yeux fixés sur les frasques de Paris Hilton…Entre analyse de société, recherche de soi, désir de ne pas grandir dans un monde où tout a déjà été fait et où on vous peint l’avenir aux couleurs de l’apocalypse, un roman qui joue la chick lit branchée, l’autodérision, la référence intello et l’angoisse de vivre.

Lundi 3 janvier 2011 à 19:42

http://articles1.cowblog.fr/images/memoiresdunecarpe.jpgPRESENTATION DE L'EDITEUR :

Entre roman noir, thriller et drame psychologique, l’auteur vous invite ici dans ce roman écrit à l’âge de 18 ans à un voyage entre coma, écriture, reconquête du « moi » et réalité.
Sandrine n’aurait certainement jamais écrit, si un jour elle n’avait pas rencontré un homme qui par ses maux passés avait su lui démontrer que l’on peut se construire si ce n’est se reconstruire grâce à l’écriture. Elle, l’enfant abandonné, la femme diabolisée, ne savait pas si un jour elle trouverait la force d’écrire. Cependant si ses derniers mots doivent être, elle désire qu’ils soient écrits et non pas bafouillés par cette jeune femme qu’elle pense être et qui lui fait honte.
Lutter contre l’invisible, reconquérir son moi, recouvrir une identité avec le temps comme unique témoin d’un combat acharné, Sandrine n’aura de cesse d’oublier ce corps abusé qu’un être aimé a su rançonner pour n’en faire que l’outil d’une mission à la spiritualité déguisée.
Une conscience manipulée, une perception de soi maquillée, et si pourtant cet handicap avéré qui l’a fit souffrir depuis sa plus tendre enfance devenait maintenant son unique moyen de se retrouver.
La crise du langage serait elle donc uniquement le symptôme d’un mal être existentiel ou devrait elle être aussi considérée comme une stratégie de communication ?

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | Page suivante >>

Créer un podcast